En réponse à :
9 décembre 2011 10:34, par En passant par là
Merci d’avoir donné la parole à Olivier Berruyer et son approche lucide, claire et incisive. Il rappelait dernièrement que la crise actuelle de la dette résultait en partie du choix de nos gouvernants, qui avaient poussé l’État, non plus à imposer les plus riches, mais à leur emprunter de l’argent. C’est en cela que les épargnes et les assurances vie constituent de la dette, dont le non-remboursement équivaudrait à un impôt rétro-actif. Mais on peut toujours rêver pour que les hommes politiques prennent ce type de décision, contre leur propres intérêts de (...)