En réponse à :
17 mars 2004 15:35, par Valérie
Réaction à l’article "travailler sans toit" Je trouve que le processus est bien expliqué, mais j’ai été un peu gênée, car les deux personnes que vous citez ont des salaires confortables, avec lesquels beaucoup de gens ne vivent pas dans la rue.
Il me semble que votre explication vaut pour de nombreux « travailleurs sans toit », mais que pour ces deux exemples là - l’un d’eux en particulier - ce n’est pas le marché du logement qui est en cause, mais peut-être plutôt le fait qu’il soit désocialisé et qu’il dépense 900 euros par mois aux courses...
J’ai regretté de ne pas voir le cas d’un ou une salarié(e) (...)