En réponse à :
25 novembre 2011 11:19, par Caliméro
Tout à fait. Le clivage droite/gauche n’est ni une question de coeur, ni de (bonne) conscience, mais plus simplement, une divergence d’avis sur les meilleurs moyens à employer : omniprésence d’un état-providence ou initiatives volontaires, individuelles et/ou associatives. Et s’il est vrai (?) que la droite est davantage prisonnière des grands groupes, c’est en grande partie dû à ce clivage même, qui fait que beaucoup des personnes de bonne volonté se sont crues obligées de déserter vers la gauche, laissant le champ libre... L’écologie n’est ni de droite ni de gauche, elle est un mode de vie et de (...)