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30 novembre 2011, par François Mazet et Sylvain Mouillard
Avec ses 10 000 fermiers, la coopérative Fonterra fixe le cours de l’or blanc dans le monde. Et ses producteurs actionnaires applaudissent. Mais son modèle de développement fait bouillir ses opposants.
Depuis la fin de l’année dernière, les pâturages de Nouvelle-Zélande manquent cruellement d’eau et le cheptel qui s’y nourrit produit moins de lait. Or, le pays fournit les deux tiers de la poudre de lait échangée sur la planète. Pis, les Chinois qui craignent les contrefaçons chez eux s’arrachent (...)