En réponse à :
19 janvier 2012 09:09, par Darna
Poulet ou pas, je ne pourrai jamais me réjouir qu’on soit abattu plus tôt ou plus tard, à part si l’on souffre incurablement. Quitte à "passer à la casserole", ce qui est le cas de tout être vivant, au moins que ce soit dans la dignité et sans douleur. Au Cambodge, autrefois mais du temps que je n’ai pas connu, les anciens me disaient qu’avant d’être sacrifiées pour nos panses et nos papilles, les bêtes étaient choyées, et on leur demandait leur pardon et les en remercient. Vivre heureux avant de mourir, à mes yeux, constitue 1 certain accomplissement. Tout cela a changé dès 1863, parallèlement à (...)