En réponse à :
2 décembre 2011 10:32, par Darna
Je fais partie de celles et de ceux qui développent des espaces de gratuité et de recyclerie, pour justement et joyeusement amoindrir les déchets non gérés. A part le soutien de quelques élu(e)s vert(e)s locaux, nous ne percevons aucune aide des "autres". Et évoquer le recours à 1 juriste spécialisé, coûte cher et ne révise pas les habitudes de production/consommation des populations. Il n’y a plus de guichets, et les seules présences "humaines" sont des robocops contrôleurs et répressifs, et les distributeurs pour gloutons pressés, répondent aux publicités qui "conseillent" soi-disant, qu’il faut ou ne (...)