En réponse à :
3 novembre 2011, par Alain Grandjean
En convoquant un référendum, les Grecs font figure d’irresponsables. A moins qu’ils ne soient opposés au dogme monétaire qui régit l’Union, suggère Alain Grandjean.
Il y a quelque chose de surréaliste dans l’annonce par Georges Papandréou d’un référendum en Grèce, postérieure au sommet de Bruxelles. Comment est-il possible qu’elle n’ait pas été faite en même temps ? On comprend que les marchés dévissent. Ce pourrait être l’allumette qui met le feu aux poudres et nous conduit au « big one », le grand krach (...)