En réponse à :
10 novembre 2011 16:20, par ®om
« Remettre en cause cela c’est remettre en cause l’idée même d’intérêts sur la dette. »
Eh bien oui, cet intérêt sur de l’argent créé ex-nihilo n’est pas du tout comparable à celui sur de l’argent existant déjà, dont le prêteur se « prive » momentanément.
Je trouve ce qu’en dit Louis Even très intéressant : « La société ne devrait donc pas être forcée de payer des intérêts perpétuels aux créateurs de l’argent. Elle paie tribut à des comptables qui ne font qu’enregistrer une valeur de production qui lui appartient, à elle, la société. De plus, la société est forcée de payer ce tribut, non pas en produits qu’elle peut (...)