En réponse à :
11 juin 2011 18:07, par Ciron
Ce roman pense 2050 avec nos automatismes de 2010 : exploitation forcenée... avec ses dramatiques conséquences auxquelles, ma foi, l’on arrive à s’accommoder.
En 2050, la population aura encore augmenté, l’eau et la nourriture manqueront, et la pollution se sera généralisée tant sur terre, que dans la mer. Les automatismes de demain pourraient être : survie à tout prix. C’est-à-dire la barbarie.
Le plus probable est que les parents de Krishna seront morts de malnutrition et de maladie, bien avant la naissance de notre sympathique Krishna (...)