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24 mai 2007, par Angeline Montoya
Sur un marché des biocarburants explosif, les agriculteurs argentins sont en quête permanente de terres cultivables. Quitte à exproprier, ou détruire des zones forestières.
L’histoire de Graciela est monnaie courante à Santiago del Estero, l’une des provinces les plus pauvres d’Argentine. Elle vivait sur ses 130 hectares de terres avec son mari et ses 8 enfants, lorsque des bulldozers les ont délogés. Un agriculteur, accompagné par un avocat et des policiers armés, a affirmé avoir acheté ses terres en (...)