En réponse à :
9 juin 2007 17:59
Finalement, (pourquoi ne pas) prêcher que l’homme est mauvais, témoigne (-t’il vraiment) d’un orgueil extraordinaire (vraiment ? Ne serait pas plutôt d’un courage extraordinaire ?) et s’il existe évidement des gens mauvais, cela permet paradoxalement de faire le contraste avec les bons. ("Heureux, les imbéciles...car ils ne savent pas ce qu’ils font..." disait Jésus, il me semble...) Et puis il existe deux sorte de "bons" et deux sorte de "mauvais". Ceux qui sont tels qu’ils sont naturellement car c’est plus fort qu’eux, et puis ceux qui sont bons ou mauvais par calcul, lâcheté ou tout simplement, (...)