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1er novembre 2006 18:48, par Par Irina Zgreaban*
La Bolivie capitalise la confiance européenne Suite à la nationalisation des hydrocarbures, les entreprises implantées dans le pays ont accepté de reverser 82% de leur chiffre d’affaires à la Bolivie.
Fidèle à ses déclarations selon lesquelles "le capitalisme est le pire ennemi de l’humanité", le président bolivien, Evo Morales a joué gros. Le 1er mai dernier, il entamait un processus de nationalisation des réserves d’hydrocarbures -gaz et pétrole- du pays, jusque là essentiellement exploitées par des multinationales étrangères. Parmi elles, la Brésilienne Petrobras, l’Espagnole Repsol YPF, la Britannique (...)