En réponse à :
29 novembre 2006 18:53, par Par Walter Bouvais *
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Cela dit, les escapades demeurent rares pour les populations qui ont massivement quitté les campagnes. Dès les années 2010, la flambée des prix de l’essence et du fioul y rendit la vie hors de prix. Quant à la succession des tempêtes et des inondations, elle fit exploser le montant des primes d’assurance. En 2015, l’arrêt contraint et forcé d’une centrale nucléaire sur deux - faute d’eau pour les réfrigérer - fit bondir le prix de l’électricité, malgré l’éclosion d’une myriade de petites entreprises qui investirent le secteur des énergies alternatives. Bilan : transports, (...)