En réponse à :
14 mai 2007 10:27, par FC
je ne connaissais rien à la crevetticulture et son impact environnemental avant de lire votre article et je crois que ça continue : "Pour accrocher la cinquième place mondiale du secteur, Madagascar a par exemple converti 200 000 m2 de mangroves et de terres fertiles en bassins d’aquaculture. Le jeu en vaut-il la chandelle" dites-vous. Si je ne me trompe, 200 000m2 représentent 20 hectares, c’est-à-dire une mangrove de 2 km sur 100m de profondeur. je ne peux pas croire que ça a la moindre influence sur le système terre, même si c’est localement (...)