En réponse à :
23 février 2006 10:13, par Egmont Labadie
Je pense qu’au contraire, c’est tout à l’honneur de la France d’avoir su reconnaître son erreur, qui a consisté à envoyer dans un pays lointain un vaisseau potentiellement rempli de matériau nocif autant pour les eaux qu’il a traversées que pour les ouvriers chargés de le démonter. Le principe de précaution s’applique autant pour l’ouvrier indien que pour le consommateur de poulet français.
Vous n’êtes pas la seule personne à exprimer cette opinion hautement douteuse qui consiste à dire "on peut faire ce qu’on veut du moment qu’on ne se fait pas prendre". Belle mentalité qui laisserait mal augurer de (...)