En réponse à :
29 janvier 2016 10:55, par Jean.Delmer
Morin est toujours aussi bon.
Dommage qu’il ne soulève pas un autre aspect du problème. Cesser de courir derrière le temps pour entraîner cette métamorphose, cette déviance devenant tendance, c’est aussi cesser de soi même charger ce temps dans une société de consommation qui propose toujours plus. Avant de blâmer une quelconque hyper consommation abrutissante pour l’esprit, avilissante pour les corps ; il s’agira avant tout de nous éduquer à accepter l’idée que non, nous n’aurons jamais assez de temps pour nourrir chaque passion, et cette sur-offre formidable et stimulante pour nous (comment nier le (...)