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16 janvier 2007 11:50, par Brian Menelet, doctorant en science politique, université de Bourgogne
Un élément important maque à ce palmarès : le nombre de personnes vivant dans le foyer. Je suis à la limite des personnes les plus pauvres, mais célibataire, je me considère comme relativement chanceux. Par ailleurs, des éléments qui affineraient l’analyse manquent : la provenance de ces revenus. Un rentier à la frontière de la tranche la plus pauvre est-il dans des conditions comparables à une smicard à temps partiel ? Bien sûr, il s’agit d’un document qui se veut synthétique, et en ce sens, il est assez édifiant (...)