En réponse à :
19 août 2011 10:21, par claude-marie vadrot
C’est bien plus compliqué que cela et il ne faut pas sous-estimer l’inconséquence ou la bêtise du consommateur : par exemple celui qui achète (exemple d’hier) des haricots vers du Kenya à 8, 10 euros le kilo quand les haricots verts de saison français sont à 3, 80 euros dans le même super-marché et à 3,10 euros chez le producteur du marché distant de 150 métres (et frais cueillis du matin en plus !)
Mais reste que l’agriculture française, intensive ou bio, ne fait plus face à la (...)