En réponse à :
27 juin 2011 15:21, par Nicolas Imbert
Je suis étonné du parti-pris choisi dans cette article, qui donne une forte résonance aux propos de Mark Lynas, sans forcément expliquer le contexte et d’où l’auteur parle, ni donner de place à un débat contradictoire.
Pendant très longtemps, France, Japon et Etats-Unis ont imposé la nomination d’experts réputés "sérieux" parce qu’ils répercutaient des options pro-nucléaires, sous-estimant fortement la dépendance énergétique, le risque, les coûts de démantèlement...Les ONGs se sont vu interdire l’entrée à la table des négociations, les think-tank analytiques également (par exemple le Rocky Mountain Institute). (...)