En réponse à :
1er juin 2011 09:32, par J.F.S
L’idée n’est plus de protéger le consommateur déjà prévenu des risques. Il doit en finalité commencer à assumer les conséquences de ces actes et non nous devons de continué de prévenir les nouveaux ou les futurs consommateurs.
L’idée est de protéger les non-fumeurs des conséquences indirectes et néfastes de ce produit. La culture du tabac n’a rien a envier a un champs de mais selon monsanto ou à une palmerai intensive. Du tabac bio c’est évidemment bien mieux pour la planète et moins pire pour celui qui le fume.
Il ne reste plus qu’à interdire les filtres synthétiques pour les remplacer par du biodégradable (...)