En réponse à :
15 mai 2011 09:40
Un impôt ne fait pas plus pleuvoir qu’une danse indienne. Les ponctions directes déjà réalisées sur les feuilles de paie des salariés et les impôts payés devraient suffire à payer le surcoût d’achat de fourrages me semble t’il. Les salariés donnent une journée de congés à la Pentecôte alors qu’ils étaient au travail en 2003 quand les responsables politiques étaient au bord de la piscine. Arrêtons un peu avec la mendicité ! Une lectrice agacée.