En réponse à :
3 mai 2011 14:12, par VODKA
Je n’en mettrai pas long car je pense que Ben Laden ne s’est pas posé sans doute de question au sujet des morts dans les attentats et de leur famille, mais quelque chose me gêne réellement dans les manifestations de joie à la mort d’un homme (j’essaie d’analyser : et Hitler ?).Je pense que Ben Laden était un "homme" et traque sans issue (il paraît que ce n’était pas possible), exécution hâtive, réjouissance... c’est dans l’attitude de vengeance sans tristesse qu’on en arrive là, que je me sens en déséquilibre. (...)