En réponse à :
20 mars 2011 22:58
ITER souffre également de deux problèmes. La mise à l’échelle tout d’abord. Ce n’est pas parce qu’on arrive à produire de l’électricité avec ITER qu’on saura le faire "grandeur nature". Donc passer du labo à la production demandera encore quelques décennies de plus. Et le second, c’est que démarrer un hypothétique réacteur à fusion nucléaire, nécessitera la puissance d’un réacteur à fission, tant le démarreur est gourmand. Et d’ici là, il est fort possible qu’on ait épuisé nos derniers grammes d’Uranium. C’est ballot. On sera à côté d’une techno super, mais sans (...)