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27 octobre 2005, par Pauline HERVE
Portes closes dans les usines, ouvriers menacés s’ils acceptaient de témoigner, autorités muettes : c’est à un mur que s’est heurtée la Fédération internationale des ligues des droits de l’homme (FIDH), fin septembre, en Tunisie. Ses chargés de mission, qui s’étaient rendu sur place afin d’évaluer les conditions de travail dans le textile, ont été empêchés de visiter les usines de confection et de rencontrer leurs dirigeants et salariés. Ce secteur, premier employeur du pays, représente plus de 45% des (...)