En réponse à :
26 octobre 2005 11:06, par Jean-Pierre (Nantes)
Comme en toute chose, l’excès est toujours son propre ennemi. Il en va de même pour la pub, qui trouve sa limite lorsqu’elle n’est plus identifiée – par ses cibles – comme une publicité.
Penser que la publicité peut durablement induire, chez des consommateurs anesthésiés, des comportements suggérés, c’est imaginer un monde étrangement figé. Or la publicité s’inscrit dans une dynamique de mondes économiques, sociaux, culturels, tous interactifs, à l’intérieur desquels tous les opérateurs cherchent à faire entendre leur voix.
On sait depuis fort longtemps qu’il n’y a pas que les publicitaires qui aiment les (...)