En réponse à :
17 décembre 2010 10:12
Je nuancerais le terme "pessimisme" au sujet du dernier film de Nicolas Hulot, le Syndrome du Titanic, mais le remplacerai personnellement par le terme réalisme. Ce qui y est relaté me semble plus proche de la réalité que l’image enjolivée d’un film comme Home. Même si le diagnostic est douloureux, il y a de l’espoir, puisque la principale issue de l’impasse dans laquelle nous sommes se trouve dans la recréation des liens humains, dans l’union, l’action concertée et coordonnée, la créativité, jusqu’à ce que les "engagés" atteignent une masse critique capable d’influencer suffisamment pour que le reste de (...)