En réponse à :
21 septembre 2010 10:35, par yvesm
La commercialisation d’un hamburger bio est une première intéressante * elle montre que le bio n’est pas nécessairement un produit de luxe réservé aux plus riches * elle illustre que sans être antinomiques, bio et bon pour la santé ne sont pas synonymes. * la démocratisation du bio via les fastfoods permet d’envisager un changement d’échelle des volumes des filières bio (ce hamburger, ce n’est pas que de la viande, mais certainement aussi du fromage, du pain, des condiments,... qui entrent dans la recette et devront être "bio").
Je souhaite donc à Quick de vendre beaucoup de ce burger, que son succès (...)