En réponse à :
24 septembre 2010 09:13, par Julien Vinzent
Bonjour, vous avez tout à fait raison et cet aspect est fréquemment soulevé par la CNAM. En 2006, un rapport parlementaire concluait que 80% des prescriptions émanent des généralistes, y voyant plusieurs risques : - risques liés au défaut de diagnostic spécialisé, face à des pathologies dont l’identification est parfois difficile à faire. Pour les sujets répondant aux critères de troubles dépressifs, seul un quart a bénéficié du traitement de référence (antidépresseur) ;
risques liés aux modalités d’emploi de médicaments. Le rapport d’étude souligne que l’initiation d’un traitement antipsychotique paraît (...)