En réponse à :
26 mai 2010 09:22, par ves
Je me suis bien gardée de me rendre à cet événement, rien que de voir les images de ces pauvres moutons effrayés massés en plein soleil et entourés de tous ces humanoïdes — qui manifestement pour la plupart étaient bien loin de les plaindre ! — me navre profondément. On ne plaint pas l’animal qu’on va déchiqueter, la seule façon de le plaindre c’est de lui laisser la vie sauve et de lui rendre son pré et sa liberté. Il faut toujours qu’on associe les bêtes, chosifiées, réifiées, utilisées (tels des outils), à tout et partout, ne peut-on leur laisser un peu la paix (...)