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Terra eco
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L’invitation est arrivée par email : « Ceci est votre dernière chance de parler à David de Rothschild et l’équipage du Plastiki avant leur traversée du Pacifique et leur départ de San Francisco pour Sydney ». La chance de rencontrer un aventurier écolo, riche, jeune et beau, qui s’apprête à naviguer à la rencontre des détritus qui peuplent le Pacifique, alors que son nom de famille aurait pu le condamner à l’oisiveté perpétuelle, est quelque chose qu’on ne refuse pas.
Comment j’ai failli monter à bord du catamaran le plus écolo au monde