publicité
haut
Accueil du site > Actu > Culture > Angoulême, festival d’écolos ?
Culture

Angoulême, festival d’écolos ?

<-  Retour à l'article

Le Festival International de la Bande Dessinée d’Angoulême, pour sa 37e édition, draine un flot insensé de bédévores. Il tente de minimiser son impact sur l’environnement alors que l’écologie investit les albums.

2 commentaires
TOUS LES COMMENTAIRES
COMMENTAIRES SÉLECTIONNÉS
RÉPONSES DE LA RÉDACTION
Trier par : Plus récents | Plus anciens
Affichage : Voir tout | Réduire les discussions
  • Anonyme : Et les adultes ?

    Bonjour,

    Je trouve dommage qu’une fois de plus ce soit les enfants, la population ciblée, quant on parle tri des déchets. Ils sont bien évidemment plus "maléables" que des adultes pour prendre de bonnes habitudes et ceci est affaire d’éducation. Or les enfants sont déjà largement sensibilisés à l’école. Est-ce que l’on craint tant que ça de s’adresser à des adultes pour qui le discours est plus difficile à faire passer ? Car ce sont quand même les adultes les principaux producteurs de déchets.

    Pour aller plus loin, il serait bon que l’éducation éco-citoyenne, point de départ essentiel, ne se limite pas à l’école primaire et au collège. L’effort doit bien se poursuivre au lycée et au delà si l’on veut que nos futurs adultes soient modèles en la matière... et que le tri de nos déchets soit enfin un geste acquis par tous.

    3.02 à 11h08 - Répondre - Alerter
  • La consommation à outrance de bandes dessinées n’est pas écologique. Jusqu’à présent, le travail d’imprimerie était très polluant, la production du papier aussi. Son transport également.
    La distribution des albums aussi (mille véhicules pour mille points de vente). Les grands rassemblement humains, BD ou pas, ne sont pas écologiques. Et si les bus et autres transports en commun ont pris le relais des milliers d’automobiles c’est un peu par écologie, beaucoup par souci de gérer le centre-ville. Imaginez donc le centre-ville d’Angoulême en proie à 100.000 véhicules individuels durant trois jours.
    Chez moi, cinquante costumes, huit cents albums BD, deux tonnes de revues diverses, quarante paires de chaussures. Dix mille kilomètres chaque année en véhicule individuel pour aller au travail et dix mille autres pour les vacances dans les îles. En avion, ce coup-ci. Je passe sur le chauffage à fond l’hiver et la clim l’été. Une tonne d’emballages par personne et par an. J’en passe et des meilleures....
    Alors puisque nous parlons Bande dessinée, ne pourrait-on imaginer beaucoup plus de bibliothèques collectives (Une par pâté de maison) et la fin des petits amoncellements personnels. On déménagerait quand on aurait tout lu d’une bibliothèque. Poussons le bouchon plus loin : Les maisons seraient équipées de meubles intégrés (beaux) ce qui éviterait des déménagements coûteux et polluants et la fabrication de pseudo meubles en agglo (colles au cyanure et autres joyeusetés) dont on ne peut rien faire quand ils s’abiment (donc directos l’incinérateur, merci nos poumons, ou la décharge publique, merci pour nos nappes phréatiques).
    Ecolo les albums ? Avec un emballage, c’est-à-dire ces couvertures cartonnées dont le poids et l’épaisseur représentent la moitié de l’album. Vous avez 10 mètres de rayonnage occupés ? 5 mètres sont uniquement du carton. Vendu au prix du Picasso.
    Bon, réveillez-vous. Ce texte n’est qu’une mauvaise plaisanterie guère digne d’une bonne BD d’aventure. C’était ma part quotidienne d’humour un peu grinçant.

    11.02 à 12h53 - Répondre - Alerter
PUBLIER UN COMMENTAIRE

Un message, un commentaire ?

  • Se connecter
  • Créer un compte

publicité
1
    Terra eco
    Terra eco
publicité
2
publicité
3
SPIP | squelette | | Plan du site | Suivre la vie du site RSS 2.0
publicité
bas