Il y a 50 ans nous avions des ingénieurs de l’ONF, qui nous expliquaient de ne pas planter des espèces avec de très bonnes raisons et des arguments scientifiques à l’appui. Ces arguments sont morts depuis, mais je vois bien que le procédé reste identique. Pour ne pas faire peur aux propriétaires qui sont les investisseurs (ils ont d’ailleurs prouvé leur engagement avec des résultats concrets), je propose de leur faire confiance plutôt que de leur donner des leçons...
Coup de stress sur la forêt