Copenhague : surenchère ou dynamique de groupe ?

J’apprécie le ton un poil moins déprimant de cet article. Le Terra Eco avec les supers présidents était assez refroidissant...J’ai besoin d’un peu plus d’espoir et d’enthousiasme meme dans l’aversité : j’ai 2 enfants qui vont vivre çà toute leurs vies !

7.12 à 22h06 - Répondre - Alerter

On peut souhaiter que la pression des opinions publiques fassent émerger un accord global. En ce sens les tentatives de récupération du courant vert par le marketing et lescampagnes de com est plutôt prometteur.

7.12 à 22h56 - Répondre - Alerter

« Le monde s’alarme du réchauffement climatique et de l’épuisement des ressources lié à leur surconsommation. Il s’alarmerait plus sûrement encore de l’expansion inégale de sa population ». C’est à lire de toute urgence dans le dernier éditorial de Claude Imbert sur l’hebdomadaire Le Point. Après des décennies de politique de l’autruche, assiste-t-on a un réveil des consciences ?
http://www.lepoint.fr/actualites-ch...

8.12 à 00h28 - Répondre - Alerter

Super votre nouveau site

8.12 à 09h11 - Répondre - Alerter

Je crains que tout ce charivari autour de l’environnement ne soit une autre campagne qui cache les véritables misères du monde. Le danger environnemental existe, c’est certain. Mais les dirigeants du monde ont-ils vraiment la volonté de trouver les bonnes solutions. Rappelons-nous le nombre de questions soulevées et qui ont été toutes laissées en suspens : le développement des pays pauvres, la faim dans le monde, les réfugiés, la pauvreté, l’éducation pour tous, les conflits frontaliers, la démocratie... A mon avis, tant que nous prenons les problèmes un à un sans traitement global de la condition de vie de l’humanité, rien ne se fera et les thématiques vivront dans la concurrence. Le phénomène de mode fera le tri. La faim n’intéresse plus personne, ses effets médiatiques ne sont pas intéressants. Le climat ? De quoi occuper les peuples alors que la question des relations entre capital et travail ne sont pas résolues. Domptez le capitalisme et vous trouverez des solutions pratiques pour tous les humains de la planète ! C’est le fond du problème. L’humanité n’a qu’un problème et un seul : les excès d’un système économique qui concentre les richesses. Ce n’est pas une question de Nord et de Sud. C’est une question de riches et de pauvres, dans le Nord et dans le Sud. S’il y a problème climatique, c’est parce qu’il y a surexploitation des ressources. Et la surexploitation nous la devons à la frénésie du gain. Les actionnaires et les bourses qui recherchent les plus hauts dividendes. Cela dit si à Copenhague on peut lier climat et pauvreté pourquoi pas ?

8.12 à 10h00 - Répondre - Alerter

Y’a plus qu’à espérer !!

8.12 à 10h59 - Répondre - Alerter