L’être humain a-t-il poussé la planète dans une nouvelle ère, l’« anthropocène » ? En avril, les géologues devront se prononcer. Mais l’étude de strates ne dit pas tout. Un faisceau d’indices plaide déjà contre nous.
Excellent ! J’ajouterais au "plastiglomérat" le sable des plages, qui, paraît-il, renferme des quantités invraisemblables de particules de plastique, sans compter ce qui traîne dans l’appareil digestif des animaux !
Bref, on est mort.
Si les humains avaient eu une planète accessibles à proximité, ils l’auraient déjà pourrie comme la terre.
Peut-être l’avons nous déjà fait.
Pour moi c’est une erreur de parler d’anthropocène. C’est le terme capitalocène qui permet le mieux de caractériser ce phénomène. Ce n’est pas l’espèce humaine qui menace l’éco-système qui lui a permis d’apparaître et de se développer, c’est une idéologie bien particulière. Comme ce n’est donc pas tous les humains qui sont impliqués dans ces impacts destructeurs.
Béton, plastique, nitrates… 10 preuves que l’homme a changé le monde à jamais