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COP21

Marches pour le climat interdites : l’abécédaire du Plan B

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Marches interdites, sécurité renforcée : les ONG qui préparent la mobilisation citoyenne autour de la COP21 depuis maintenant des mois ont vu leurs scénarios s’effondrer. Et maintenant, on fait quoi ? Récit d’un branle-bas de combat.

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  • Contre le réchauffement Oxfam Climat il est temps d’agir
    Contre le réchauffement Greenpeace COP21 à Paris vers des changements concrets
    Pour des énergies renouvelables : AVAAZ LA plus importante pétition que nous ayons jamais lancé
    Pour la forêt et contre l’huile de palme : Feux en Indonésie : pas de concession pour l’huile de palme de PEAK

    23.11 à 15h47 - Répondre - Alerter
  • Pourquoi pas faire un appel en ces journées de COP21 pour que les citoyens agissent d’eux mêmes pour le climat ! Et d’ailleurs les politiciens sont sous l’emprise des lobbies, des multinationales... Et donc qu’est-ce qui peut mieux faire changer les multinationales que de les boycotter ?

    Pourquoi ne pas demander aux citoyens en ces jours de COP 21 de manger entièrement végétal ( puisque l’élevage a un impact significatif sur le climat ( infos sur le site internet de l’Association Végétarienne de France), de boycotter les grandes et moyennes surfaces et d’aller acheter ce qu’ils ont besoin dans les magasins bios, en direct chez les agriculteurs bios... Pour que le monde change, il faut qu’individuellement chacun change ; il faut que chacun se responsabilise au lieu de toujours tout attendre de l’autre...

    Alors le 29 novembre marchons vraiment pour le climat et changeons notre façon de consommer... Consommons moins et éthique... On veut développer l’agriculture biologique et locale, alors faisons travailler les agriculteurs bios et locaux... (et pas juste en leur achetant une bricole pour se donner bonne conscience et acheter un plein cadis en grande surface....)

    Alors le 29 novembre marchons vraiment pour le climat et mangeons végétal

    Si leur chiffre d’affaire baisse, les lobbies, les multinationales auront moins de pouvoir et si le chiffre d’affaire des magasins bios , vegans, éthiques et des agriculteurs bios augmentent, d’autres agriculteurs bios et d’autres magasins, restaurants et entreprises bios, vegans et éthiques pourront se créer...

    Ne diminuons pas l’impact que peut avoir chacun individuellement

    23.11 à 17h15 - Répondre - Alerter
  • Dans une période d’expansion, ce qui attire l’attention des gouvernants, ce sont les inventions, les progrès scientifiques et techniques. Puisqu’aujourd’hui, la véritable norme sociale, c’est le statut de victime, la COP21 et sa manne céleste de financements en tous genres attirent surtout les éclopés sociaux du monde entier,

    Je ne parle pas des pauvres et des affamés, les vrais, dont l’ONU ne se soucie que sporadiquement. Ceux-là ne seront représentés que par leurs dictateurs respectifs et n’intéressent personne. Dans l’esprit du président de la COP21, les problèmes de la planète doivent être pris en charge par le sacro-saint marché et la "solidarité climatique" (ouarf !) est un cache-sexe pour les prédateurs comme Danone ou Véolia.

    Par contre, les victimes professionnelles comme les malheureuses ONG de l’écologie-spectacle comme Vert-de-Greenpeace ou le WWF, s’apprêtent à défiler dans une ambiance d’état de siège. Le Réseau Action Climat et les petites mains du lobbying écologiste va s’afficher en rangs serrés autour de l’inénarrable Simon Coquillette.

    Comme jadis les malades, authentiques ou pas, montraient généreusement leurs scrofules au noble local pour en obtenir une faveur, nos hypocrites locaux s’apprêtent à participer à cette délicieuse chorégraphie répétée mille fois avec les forces de l’ordre onusien dans un grand amalgame si généreux, si consensuel...

    Car on y mélange tout : la santé publique, la vraie science, la pseudo-science façon Nicolas Hulot, l’huile de palme et la déforestation, le faux réchauffement planétaire, la vraie fronde des pays "émergents", les faux réfugiés climatiques, les vraies victimes des catastrophes naturelles... Chacun a son mot tordu à dire. Tout le monde veut éco-participer à cette grand fête entropique et onusienne, cette foire à la victime où le faux réfugié climatique vaut tellement plus cher que le véritable miséreux.

    24.11 à 06h09 - Répondre - Alerter
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