Je suis étudiant et souhaite réagir à l’article intitulé "La révolution à papa".
Le contrepouvoir que constituent les syndicats et autres asociations militantes sont certainement nécessaires, car la système capitaliste est imparfait et a besoin de garde-fous.
Néanmoins, au même titre que la Démocratie chez Rousseau, le Capitalisme est le système économique le moins pire qui soit, et les hommes qui y participent sont souvent des entrepreneurs qui prennent des risques pour créer des richesses et de l’emploi.
J’ai peur de voir s’enraciner en France une pensée unique très orientée à gauche, et dont le message principale serait presque de supprimer l’initiative privée et d’abattre les "patrons". Malheureusement, sans "patrons", pas de travail.
De cette manière, aussi brillante que soit Susan Georges, cette femme n’a aucune idée de ce que représente le quotidien d’un entrepreneur, car trop occupée à le contester. L’association Attac est à la mode, et tant mieux pour elle. Esperons toutefois qu’au même titre que toutes les modes, elle s’éfface peu à peu.
La révolution à papa