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Pourquoi l’aviation verte n’existe pas

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Les groupes aériens viennent de s’engager à réduire les émissions de CO2 des avions. Mais avec l’augmentation du trafic, c’est mission impossible. Explications.

7 commentaires
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  • Et vous avez oublié comment certaines compagnies aériennes participent aux tests de chemtrails : combien touchent-elles pour polluer encore + ?

    22.06 à 09h29 - Répondre - Alerter
  • Il serait tout de même interessant de comparer avec d’autres moyens de transport, comme l’automobile :-/ par exemple.
    A part le vélo l’aile d’avion reste une invention avec de très hauts rendements energetiques. Par exemple même à 800km/h chaque passager fait le voyage Paris New York, comme si il était dans une petite voiture, au niveau de sa consommation.
    Restons calme, attaquons les plus gros problèmes et les plus gros pollueurs en priorité. Quand l’aéronautique sera parmi les plus gros pollueurs, l’avion électrique sera sans doute au point.

    22.06 à 10h30 - Répondre - Alerter
    • Si un planeur vole, même sans électricité, il a besoin d’énergie pour décoller et de vent pour sustenter son propre poids et celui de son passager
      Quant à l’avion électrique ???

      Sachez qu’un aller Paris-NY, en B747 consomme 60.000 litres de Kérosène. Or, 1 litre de kérosène = 10 KWH,
      soit Paris-NY = 60.000 X 10 = 600.000 KWH
      Actuellement une batterie au lithium-ion (la meilleure densité) fournit 200 Wh/kg, soit 0,2 Kwh/kg
      Calculez donc le poids de batteries pour faire un Paris-NY en B747 et concluez.
      Sachez également qu’aucune technique électrochimique ne permettra dans un poids et volume déterminés de fournir autant d’énergie qu’un hydrocarbure et ce , de très très loin.
      Demain la technologie du graphène ( avec son super-condensateur) fera sans doute mieux que les batteries électrochimiques, mais guère mieux en intensité énergétique, seulement en temps de charge et décharge.
      Alors, ne vous racontez pas d’histoires.

      22.06 à 15h28 - Répondre - Alerter
    • Oui je connais tous ces chiffres, (je suis Ingénieur ISAE, Docteur en Physique et accessoirement j’ai été il y a longtemps, pendant un jour ou deux le plus jeune pilote de planeur de France).
      En se projetant à 50 ans personne ne peut dire que le les batteries éléctriques n’auront pas une énergie spécifique approchant les carburants chimiques. Il y a 50 ans nous n’avions que les batteries au plomb. En attendant mon discours est de dire que l’aéronautique n’ est pas contrairement à ce que certains avancent le secteur le plus polluant : oui continuez votre calcul, l’aller retour Paris NY, c’est 3,3l/100km, soit de l’ordre de 100g CO2/km par passager, et donc non il est n’est pas plus polluant que la voiture, mais aussi va beaucoup plus vite. Aller a New York en voiture ! Quelle comparaison intéressante. Apres comparer l’avion au train et ses 11g/km ! D’abord cette comparaison est sans doute valide pour la France seulement et ses centrales nucléaires, pas en Allemagne où, je pense la dépense en CO2 doit approcher celui de l’aérien. Quant à la pertinence de parler du train dans le contexte de voyages transatlantiques ...
      A part çà il serait normal que l’aérien paie les taxes de tout les autres transport, dont acte.

      22.06 à 20h22 - Répondre - Alerter
    • Qu’un passager puisse faire un transatlantique "comme s’il était dans une petite voiture", c’est précisément le problème ! En voiture il ne le ferait jamais car ça prendrait des mois. C’est bien l’enjeu de l’aviation. Nulle part ailleurs est-il possible pour un individu de faire autant de dégâts si rapidement, d’exploser son bilan carbone de façon si irrémédiable. Multiplier ça par le nombre d’individus suffisamment riches et pas très soucieux de leur bilan carbone, nombre en croissance vertigineux et constant dans le monde, et vous avez un problème de taille.

      28.06 à 10h31 - Répondre - Alerter
      • Cher Alexandre,
        J’abonde pleinement en votre sens. Le problème est bien la masse de ces gens de classe moyenne assez riches pour profiter des quelques bienfaits du progrès, si il y en a. Si pour l’ensemble du monde nous pouvons faire confiance au regimes totalitaires, religieux intégristes ou autres maffieux pour garder ces masses de gueux dans la pauvreté et l’ignorance il nous faut chez nous combattre cette insupportable envie de consommer. Je propose que nous nous attaquions d’abord à cette aberration de 1936, les congés payés et toutes les frivolités qui en ont suivi, comme securité sociale, 35 heures et RTT. Alors peut etre pour nous reviendra cette epoque bénie ou nous étions seuls, riches et éduqués. A vous lire rapidement. En attendant, comme nous le scandions à Assas dans les années 70, Vive le Roi !

        30.06 à 07h59 - Répondre - Alerter
  • Il serait intéressant de comparer l’énergie consommée par divers moyens de transport, la difficulté est aussi de calculer le taux de remplissage appliqué pour savoir qui consomme/pollue le plus.

    23.06 à 22h25 - Répondre - Alerter
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