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« Peut-être qu’un jour l’humanité reconnaîtra que manger un animal ne va pas de soi »

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La philosophe Corine Pelluchon s’interroge sur la souveraineté absolue que nous nous octroyons sur les autres vivants et prône, notamment, la suppression de l’élevage intensif.

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  • Cher Vincent, cher Michel ...
    J’adore quand un commentaire commence par "c’est n’importe quoi".
    dejà vous dites à quel point cet article vous touche et vous oblige à vous défendre.
    j’adore aussi le recours à la tradition pour justifier ... en général l’injustifiable, le pire ! A ce compte, on va expliquer que l’excision est une bonne chose, la lapidation des femmes aussi, ... et éviter les vaccins et les médocs qui ,n’existaient pas il y a un siecle.
    allons, ce que dit cette philosophe tombe sous le sens. d’ailleurs, au delà de ses convictions personnelles, ce sont bien les conditions d’élevage et d’abattage qu’elle incrimine. Allez donc voir comment cela se passe dans les élevages industriels. Et dans les abattoirs.
    Et s’il vous faut plus de "raison", écoutez le cout environnemental de ces pratiques à l’échelle d’une humanité qui pèse maitnenant des milliards d’individus.
    Merci Terra Eco de donner une voix à ces reflexions. Nous en avons besoin.

    22.12 à 17h49 - Répondre - Alerter
  • L’occidental moyen a le ventre bien plein, il a besoin de réfléchir pour s’occuper, cette femme en fait partie et moi aussi. Malheureusement, certain fondamentaux de notre condition animale ont été égarés dans notre confort. L’homme fait partie intégrante de la nature. Tué pour se nourrir n’est pas un meurtre, retiré la vie et ne pas la protéger en est un.
    Il y a un paradoxe en chacun des êtres humains, et peut être même chez d’autres espèces. On adore le petit lapin qui courre dans le jardin, et on en mange un autre à table. Ce paradoxe ne peut pas être résolu. Les deux aspects font partis de nous.
    Notre condition humaine nous permet de non seulement penser aux individus de notre espèce, mais également aux espèces les plus proches comme certains mammifères (chien, chat, primate...). On est vraiment pas obligé de respecter l’animal en tant qu’individu au même niveau quel que soit son espèce. On peut très bien manger du poulet et refuser de manger un chien, un chat, un singe ou que sais-je. Peut-être y a t-il un réflexe par rapport au niveau de conscience des différentes espèces ou à la proximité génétique, je ne sais pas.
    Bref, la vie se nourrit de la vie, cela a toujours été ainsi et cela le sera toujours ; y compris pour l’homme. Si on a oublié cela, on est perdu. Cela n’empêche pas d’avoir de l’estime pour un animal en particulier, de ne pas faire souffrir inutilement les poulets qu’on va manger, de défendre la biodiversité ou de donner le statut d’être pensant à un singe pourquoi pas.
    On est libre d’être végétarien ou non. Je n’ai pas de problème de conscience même si je préfère tout de même les poulets d’élevage et j’essaie de diminuer ma consommation de viande bien sûr.
    Vincent

    3.06 à 23h01 - Répondre - Alerter
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