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Société

Les élevages XXL, des exceptions ou une vraie tendance ?

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Elles font parler d’elles mais sont-elles vraiment si nombreuses ? Et surtout, que disent-elles de l’avenir de notre agriculture ? Trois experts replacent les mégafermes dans le paysage français.

19 commentaires
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  • Quelle horreur, quelle honte de construire de nouveaux univers concentrationnaires ! On oublie que ce sont des êtres vivants qu’on torture pour nos "besoins"... besoins pas si indispensables en 2015 !

    Méditez cette citation :

    "Si la cruauté humaine s’est tant exercée contre l’homme, c’est trop souvent qu’elle s’était fait la main sur les animaux. On aurait moins accepté les wagons plombés menant vers les camps de concentration si on n’avait accepté sans même y songer la souffrance des bêtes dans les fourgons menant aux abattoirs. Tout homme qui chasse s’endurcit pour la guerre."

    Marguerite Yourcenar

    4.02 à 08h21 - Répondre - Alerter
  • Je m’aperçois que mon commentaire ici a été supprimé ??? Parce qu’il faisait "double emploi" avec celui posté sur le même sujet "Y aura-t-il une mégaferme près de chez vous" ?? Il ne me semble pas de trop de deux exemplaires d’une citation bien sentie et qui fait réfléchir sur nos agissements !
    Quoi qu’il en soit j’aurais préféré un petit mail d’avertissement avant la suppression de mon message.
    Une lectrice assidue.

    4.02 à 14h03 - Répondre - Alerter
  • Merci beaucoup, Monsieur, de cette petite mise au point... en espérant surtout que le message fasse réfléchir.

    4.02 à 15h20 - Répondre - Alerter
  • pour le secteur de la production laitière et aussi d’autres élevages le phénomène de la concentration est inévitable notamment pour des raisons sociales et environnementales
    - sociales = ne plus travailler seul, pouvoir se libérer de la contrainte de l’élevage,…… voir le développement de l’agriculture sociétaire (gaec et autres)
    - environnementale = en regroupant des élevages, le financement des contraintes environnementales est facilité

    bref : des élevages de 100 vaches voir plus se développeront et si la société n’en veut pas , on arrêtera l’élevage ce qui est déjà une réalité

    signé par un éleveur

    4.02 à 17h28 - Répondre - Alerter
  • Heureusement qu’il y a de tels écrivains (lisez Tolstoï, le Prix Nobel Bashevis Singer et d’autres) pour réfléchir pour nous et poser les questions dérangeantes !
    Continuez de ronronner

    5.02 à 10h04 - Répondre - Alerter
    • J’ai lu Tolstoï et d’autres (y compris Yourcenar) mais je ne suis pas obligé de faire la la même interprétation que vous de ces lectures. Je confirme que les grands écrivains peuvent écrire des âneries. Je continue à ronronner en picorant des rondelles de saucisson

      9.02 à 10h52 - Répondre - Alerter
    • Ha, moi, je ne les ai pas lue,je regrette, je suis bien plus "terre à terre" que ça, surtout sur un tel forum ? me contenter d’imaginer qu’un agriculteur, puisse avoir la prétention d’être heureux de se lever le matin, vivre de son travail, humblement, et d’en vivre me semble être une approche plus altruiste, que d’utiliser sa "culture", pour régler ses comptes, en commentaire, d’un tel article.

      Est ce que le bien être des animaux que l’on élève, ne devrait pas être une notion, qui pèse plus lourd, que ça n’est le cas ?

      Et puisqu’on parle littérature, je précise que l’état de dépression, n’est pas franchement un contexte psychologique, qui donne l’opportunité de cultiver, et je ne vous parle m^me pas du surbooking.

      21.01 à 07h24 - Répondre - Alerter
  • pour nous tourangeaux, c’est déjà une réalité :
    http://www.lanouvellerepublique.fr/...

    quand on sait, comme l’a dit Poupette, pour des besoins pas si indispensables car on peut très bien vivre sans manger de viande ni produits laitiers...

    quand on pense que les agriculteur eux-mêmes continuent à défendre ce modèle qui les rends esclaves du Crédit Agricole pour lequel il n’auront jamais assez d’une vie pour rembourser tous leurs crédits ! vous êtes autant victimes que vos animaux et vos consommateurs messieurs, et vous ne voulez pas ouvrir les yeux.
    J’en connais un d’agriculteur qui fait dans le lait, il s’est mis à la vente directe en lait cru et bio, il a réduit de moitié son troupeau, passant moins de temps avec ses bêtes et gagnant mieux sa vie, il a construit un poulailler avec un grand et vend maintenant des oeufs bio. Et il ne va pas s’arrêter là ! il est plus rentable et a la joie de rencontrer ses consommateurs, il a moins de dettes auprès de son banquier. Si c’est ça le modèle archaïque des écolos, bah moins je veux bien le troquer contre le modèle moderne des capitalistes, puisque tout le monde à l’air d’y trouver son compte.

    9.02 à 12h54 - Répondre - Alerter
  • Cet amalgame entre les camps de concentration et nos élevages est purement scandaleux et irrespectueux pour les personnes qui ont vécus cette atrocité, y compris pour les éleveurs professionnels qui font en sorte de respecter leurs animaux.
    Je suis en général surpris des propos tenues par des personnes ayant une vision très "citadine" de la campagne et de l’agriculture.
    Si les exploitations s’agrandissent aujourd’hui, c’est avant tout pour s’adapter aux besoins et volonté de la société du 21iéme siècle. Les agriculteurs ont également le droit d’avoir une vie sociale en cohérence avec notre société. C’est ce que permet l’augmentation de la taille des élevages.
    Je ne pense pas que ce soit en "crachant" sur les éleveurs qui souhaitent vivre dignement de leur métier et le transmettre que l’on pourra se comprendre et se respecter.

    26.08 à 09h36 - Répondre - Alerter
    • Bonjour.

      Cet amalgame, entre les camps de la mort, et les élevages industriels, n’a jamais eu pour ambition, de blesser les éleveurs, dans ce qu’ils font subir aux animaux, mais uniquement, de mettre en avant, la stricte vérité, qui réside, dans le fait, que les animaux qui vivent dans de tels élevages, sont torturés, pour ne pas vivre dans des conditions, qui soit décentes, ce qui est bien différent.

      Je précise que je suis fille d’agriculteurs, mon père était éleveur de porcs, alors, je connais.
      Le fait d’élever des animaux, n’a jamais empêché, que je sache, d’avoir une certaine éthique, dans son travail.

      Mais le problème est autre, je comprends fort bien votre situation, hélas, pour cause de véritable traumatisme familial, du précisément, à l’évolution de la filière porcine, il y a 20 ans environ.

      Je trouve cet article, particulièrement intéressant, moi, parce que justement, il resitue parfaitement, le probleme là, oùil se trouve, c’est à dire, sous l’angle européen, et pas national.....

      Le problème du gouvernement actuel, donc, de Stéphane Le Foll, plus particulièrement, réside dans le fait, qu’il est difficile, d’aller à l’encontre d’une politique agricole européenne, précisément, parce que la volonté politique, des autres pays européens, elle, n’est pas la même, il en découle, comme dans d’autres secteurs, une concurrence, parfaitement déloyale.

      Mais je vois très bien comment on va pouvoir aider au basculement.

      21.01 à 07h01 - Répondre - Alerter
  • GODWIN "meilleurs" ?.... aller revoir les documentaires, de raymond Depardon, ensuite, en en reparle.

    Prétendre que la discussion est impossible, me semble juste plutôt irrecevable, parce que fuir le débat, n’a jamais été la solution, à un problème.

    Etaler sa science, par d’avantage.....

    C’est de politique, dont il est question, avant tout. Et le problème aujourd’hui, de l’agriculture, réside, dans le fait qu’elle fait l’objet de dev bats, passionnants, c’est un fait, mais tenu par des personnes, qui en ont une vision relativement tronquée, et idéalisée....
    je ne suis pas certaine que les agriculteurs de demain, vienne lire ces lignes, pas plus que les agriculteurs, qui sont "au cul des vaches"....

    Prêcher pour le végan, merci, je reconnais que c’est tentant, mais j’aimerai bien qu’on m’explique, dans ces condition, qui entretiendrait le paysage ?

    Enfin, je veux dire que les oeillères, visiblement, certains ne les ont pas encore prises en considération, ce qui est bien regrettable.

    n’importe quel concept, lié à l’agriculture, quel qu’il soit, ne doit jamais être sorti de son contexte, qui n’est pas que social, et idéologique, mais aussi, relatif, à écosystème, et simplement naturel...
    Et ça, prsonne n’en parle.

    21.01 à 07h44 - Répondre - Alerter
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