200 experts, journalistes et membres d’ONG chinois ont atterri cette semaine dans la capitale. Objectif ? S’accorder avec leurs homologues européens sur un texte commun et faire bouger les lignes des négociations climatiques.
Le CO2 ne doit pas être accusé, alors qu’il n’a rien à voir avec les fumées qui assombrissent Pékin ou d’autres villes dans le monde.
Rappelez vous le grand smog de Londres en 1952. Pas beaucoup de CO2 dans l’atmosphère de la planète à l’époque. On ne parlait pas non plus de réchauffement climatique puisque la tendance était au refroidissement depuis 1945.
A tel point que dans les années 1970, les milieux autorisés s’inquiétaient d’un possible retour du petit âge glaciaire.
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