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Livre. Pas de pitié pour la croissance

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PROSPERITE DU VICE : UNE INTRODUCTION (INQUIETE) A L’ECONOMIE, de Daniel Cohen Albin Michel.

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  • Bonjour,

    Si je comprends bien cet article, notre société est arrivée à ce que l’on appelle le point de non retour.

    C’est à dire que nous imaginer revivant une période comme celle des trentes glorieuses est totalement illusoire.

    La solution qui s’offre à nous il me semble , est donc de pratiquer une consommation responsable afin de retrouver autant que possible un point d’équilibre économique.

    Stéphanie84

    26.10 à 10h47 - Répondre - Alerter
  • L’entreprise contre la pauvreté. La dernière chance du libéralisme…

    Depuis la chute du mur de Berlin, le système capitaliste est triomphant tout en révélant ses imperfections.
    De nouveaux modèles sont portés par des théoriciens tenaces.
    Il y a ceux qui rêvent de plus de libéralisme, avec moins d’État et plus de concurrence pour plus de croissance, donc de richesses… Il y a ceux qui militent pour arrêter la croissance pour sauver la planète et l’humanité. D’autres enfin cherchent à perfectionner le système capitaliste pour le rendre plus humain et donc plus durable.

    « Le progrès n’est que l’accomplissement des utopies », disait Oscar Wilde…

    Un dirigeant d’entreprise engagé sait que la vocation de l’entreprise est de libérer l’homme de la pauvreté et d’assurer son développement en créant des richesses.
    L’objectif de l’économie est d’ordonner au service de l’homme les richesses et les relations humaines créées par l’entreprise et cet objectif peut être atteint.
    Les fourvoiements destructeurs d’une certaine idéologie néolibérale : l’entreprise travaillant contre les emplois, créant la richesse des uns, engendrant la pauvreté pour les autres au nom de la prétendue loi supérieure du marché et de la concurrence ; doivent nous amener à sortir de ce cadre.
    Non seulement on peut créer de la richesse autrement, mais la lutte contre la pauvreté est la clé de la croissance.

    L’éthique et le développement durable concernent d’abord la vision que l’entreprise a du monde qui l’entoure. Le point de vue de chaque entrepreneur doit donc être fondé sur ses convictions profondes et non calquées sur des comportements normalisés d’entreprises dont l’image est "socialement correcte".

    Mais le progrès social ne se décrète pas, il est le fruit de l’évolution globale d’une société sur les plans culturel, économique et politique. Il faut du temps pour réaliser ces changements. En France, il y a moins d’un siècle les enfants de 10 ans travaillaient dans les mines de charbon.

    Je suis persuadé qu’une vraie demande sociale est en train de s’installer en matière de :
    > développement durable
    > commerce éthique
    > commerce équitable
    > respect de l’environnement

    Bien sûr, il y a de la récupération dans l’air. Après l’écolo marketing, les entreprises investissent sur l’éthique et le commerce équitable. Mais l’idée d’un développement raisonné, mieux maîtrisé, plus soucieux des hommes et de l’environnement est en train de s’installer dans nos pratiques quotidiennes.
    Les consommateurs interpellent les entreprises sur la sécurité des produits, sur leur qualité, mais aussi sur leur origine. Un label de "qualité globale" doit s’imposer désormais à tous les distributeurs et industriels, sauf à être évincé du marché.
    Alors soyons exigeants et créatifs...

    26.10 à 11h48 - Répondre - Alerter
  • J’ai vaguement cru à du second degré lorsque j’ai lu cette fameuse définition du bonheur "moderne" (gagner plus ???) mais non c’est très sérieux... C’est selon moi peut être le plus inquiétant (arriver à donner une telle définition...), je pense que la définition du bonheur appartient à chaque individu et vouloir enfermer ce concept dans une définition économique est symptomatique de la pathologie de nos sociétés en perte de sens et, tout simplement, d’humanité.

    18.11 à 16h41 - Répondre - Alerter
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