La réforme territoriale redessinant la France en 14 super-régions suscite crispations et interrogations sur le bon échelon pour mener une politique durable. Luc Florent, géographe, fournit quelques éclaircissements.
Bonjour,
Quand je pense qu’encore en France, des personnes de villages, départements et régions voisins se considèrent comme "étrangers", je me dis que l’ouverture d’esprit est quasiment inexistante. Le changement est la base de tout être vivant, des bactéries aux galaxies. S’accrocher à des territoires est tellement enfantin et petit...
Croire que tout est éternel nuit gravement à la santé et aux rapports au monde !
Les figés de la pensée doivent être très souvent malheureux...
Tout à fait d’accord, incroyable les commentaires que l’on peut entendre. Considérer qu’à 50 ou 100 kms de chez soi les habitants sont différents c’est n’importe quoi, on retrouve désormais les mêmes gouts, les mêmes vêtements, les mêmes choix de musique, d’émission télé etc.
Toutes les âneries qu’on peut entendre sont inquiétantes, c’est ainsi qu’on entretien la haine du voisin , de l’étranger et qu’on amène des fachos au pouvoir.
La France est décidément bien décevante et les politiques, par leur comportement, leur refus du compromis, de voter des réformes intéressants s’ils sont dans l’opposition ont une grande part de responsabilité.
Nouvelles régions : « Les citoyens s’attachent à leur territoire qu’ils défendent »