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Jardin

Mais d’où viennent vraiment les légumes anciens ?

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Faute de rentabilité, nos carottes, tomates ou pommes de terre ont vu disparaître, au fil des siècles, leurs cousines régionales, pourtant souvent plus goûteuses. Aujourd’hui, des passionnés les déterrent.

8 commentaires
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  • "Dans le sillon de Kokopelli"... Faudrait pas pousser, disons plutôt que c’est l’inverse.

    29.04 à 21h11 - Répondre - Alerter
    • Parfaitement d’accord avec toi, certaines entreprises commerciales savent parfaitement surfer sur ce courant. Mais leurs méthodes sont peu regardantes au vu de la cause qu’elles sont sensées défendre. Vous citez la Ferme de Ste Marthe qui elle aussi achète des semences du bout du monde, non pas par respect de l’origine de ces semences mais pour des raisons de coût. Et oui un paysan indien coûte moins cher qu’in européen ! Attention aux entreprises commerciales (Kokopelli en premier) qui nous servent un discours moralisateur et utilisent les méthodes qu’ils condamnent !

      1er.05 à 14h28 - Répondre - Alerter
  • Sinon vous n’avez pas vraiment répondu à la question posée dans le titre...

    29.04 à 21h26 - Répondre - Alerter
  • Mille Merci à toutes ces personnes qui se battent pour préserver la biodiversité des légumes et des fruits !

    1er.05 à 00h32 - Répondre - Alerter
  • "Faute de rentabilité" je me suis arrêté de lire votre article à ces deux mots et du coup le reste perd tout en crédibilité. Il y a des variétés anciennes plus rentables que des variétés brevetées, je n’entre pas dans les détails mais c’est un fait. Merci de corriger cette affirmation.

    1er.05 à 10h52 - Répondre - Alerter
    • Le mari d’une férue de tomates anciennes : Mais d’où viennent vraiment les légumes anciens ?

      Je pense que vous n’avez pas, ou ne saisissez pas la démarche de "rentabilité" appliquée par l’industrie de l’agriculture. Je ne doute pas, j’en suis même certain, que des variétés anciennes soient plus rentables que des variétés brevetées. Mais uniquement si l’on prend en compte la production elle même, le volume de la récolte. Ce qui fait la "rentabilité" d’une variété, c’est par exemple le calibrage de la production, qui permet une mécanisation plus poussée, soit de la récolte, soit du conditionnement, voire des deux. Si je veux de la rentabilité, je vais être tenté de choisir quelques variétés "brevetées" qui me donneront une production homogène et régulière. Même si pour cela je dois condamner à l’oubli des dizaines d’autres variétés, qui produisent peut-être plus, mais qui me demanderont plus de dépenses pour les commercialiser. Voilà l’origine du "Faute de rentabilité" qui a provoqué, hélas, l’arrêt de votre lecture. Je vous engage donc à lire la suite de l’article, fort intéressant et crédible, quoi que vous en pensiez. Cordialement...

      1er.05 à 16h33 - Répondre - Alerter
      • Bravo... Je pense que pour bien comprendre des enjeux aussi importants, il ne faut pas se braquer sur les premiers mots d’un article et le lire jusqu’au bout. C’est cela aussi l’idée que je me fais d’une consommation intelligente, c’est de lire et d’écouter tous les points de vus, pour ne pas avoir une pensée unique à l’instar des légumes...

        2.05 à 12h20 - Répondre - Alerter
      • Bonjour,
        N’étant pas spécialiste du sujet, qu’est-ce qu’une variété brevetée, et qu’est-ce qui fait qu’une variété non brevetée soit plus chère à commercialiser ?
        Merci pour votre réponse

        2.05 à 18h16 - Répondre - Alerter
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