Pas toujours facile pour les habitants de l’écoquartier de Bonne, à Grenoble, de s’adapter à leurs nouveaux logements verts, que des experts ont imaginé sans eux. Reportage.
Ma première réaction à la lecture de cet article : serait-on le 1er avril ?
Ah, en fait, non.
Bon, alors quelques réponses de bon sens : si jamais quelqu’un éteint par mégarde la multiprise, il n’y a qu’à la rallumer, et d’ici 2 minutes maximum, la box est réinitialisée...
Et si on trouve le lierre joli, faut accepter qu’il y ait de petites bébètes dedans...
Mais bon, si les gens font preuve au maximum de mauvaise volonté, c’est pas gagné...
Au début, les gens ont eu du mal à s’habituer aux WC à l’intérieur des maisons avec la chasse d’eau, et puis aussi à la poubelle à l’intérieur de la cuisine. Ils trouvaient tout ça dégueulasse, et ces salauds d’experts qui leurs disaient que c’était pour l’hygiène et la salubrité publique ! Même que le préfet Poubelle a obligé les parisiens à s’équiper d’un récipient pour collecter les ordures, c’était une intrusion intolérable dans la vie privée.
Les écoquartiers font-ils des écohabitants ?