publicité
haut
Accueil du site > Actu > L’économie expliquée à mon père > La Bretagne doit changer de modèle : la preuve en trois chiffres
L’économie expliquée à mon père

La Bretagne doit changer de modèle : la preuve en trois chiffres

<-  Retour à l'article

Les choix économiques de la région ne sont pas viables. En se penchant sur les chiffres, cette réalité saute au visage.

12 commentaires
TOUS LES COMMENTAIRES
COMMENTAIRES SÉLECTIONNÉS
RÉPONSES DE LA RÉDACTION
Trier par : Plus récents | Plus anciens
Affichage : Voir tout | Réduire les discussions
  • balaitous : Une erreur numérique

    Dans votre excellent article, il semble y avoir une erreur numérique dans ce passage :

    « l’agriculture bretonne en consomme plus de deux fois plus que la moyenne nationale (0,14 tonne équivalent pétrole/ million d’euros contre 0,006 en France) »

    Si les chiffres étaient exacts ce serait plus de vingt fois et non plus de deux fois.

    6.11 à 08h16 - Répondre - Alerter
  • loveavelo : Attention Rifkin !

    Les plans de Rifkin ne tiennent pas la route :

    http://www.rue89.com/2013/10/16/jer...

    http://alternatives-economiques.fr/...

    6.11 à 09h43 - Répondre - Alerter
    • Merci beaucoup pour le lien vers le billet de Jean Gadrey sur le site d’Alternatives économiques.
      Je ne connaissais pas vraiment les travaux de Rifkin, mais l’analyse qu’en propose Gadrey est très éclairante sur les dérives d’une certaine "alternative" technocentrée et pseudo-écolo.

      6.11 à 15h54 - Répondre - Alerter
  • Comme je ne peux pas mettre le lien vers la pétition et la consultation actuelles des citoyens, je vous invite à découvrir la plus récente par Cyberacteurs.
    A chaque fois que j’essaie de mettre 1 lien internet, l’annonce m’est refusée, c’est normal Dpc ?

    6.11 à 11h34 - Répondre - Alerter
  • Sur ce même thème nous organisons une conférence le 14 novembre à Baud (56150) : Le modèle agricole breton est-il source d’emploi ?

    Plus d’infos sur notre site et par courriel.

    6.11 à 11h59 - Répondre - Alerter
  • L’inertie est telle, malgré celles et ceux qui essayent d’améliorer ce monde, que les catastrophes arriveront quand même malgré nous.
    Plus je vieillis et plus je me demande comment la Vie a pu produire Homo bellicus...
    Quel sens conduit-il à s’auto-détruire ?

    6.11 à 20h07 - Répondre - Alerter
  • Un article d’une nullité absolue.

    6.11 à 21h29 - Répondre - Alerter
  • La Commission a validé la subvention de 150 millions d’euros prévue pour la construction de l’aéroport, portant un coup dur aux opposants au projet.
    La Commission européenne a donné mercredi son feu vert à l’aide octroyée par l’État français pour la construction de l’aéroport contesté de Notre-Dame-des-Landes, près de Nantes, portant un coup dur aux opposants au projet. La subvention de 150 millions d’euros octroyée par les autorités françaises à la société Aéroports du Grand Ouest, filiale du groupe Vinci, pour la réalisation de l’aéroport de Notre-Dame-des-Landes "est compatible avec les règles de l’UE relatives aux aides d’État", a estimé la Commission européenne dans un communiqué. "Le projet (d’aéroport) permettra notamment d’améliorer la desserte régionale sans entraîner une distorsion indue de la concurrence dans le marché intérieur européen", a indiqué la Commission, gardienne de la concurrence en Europe. Ce projet d’aéroport "contribue à la réalisation d’un objectif d’intérêt commun en répondant à la saturation des infrastructures existantes", a insisté la Commission.
    Bruxelles porte ainsi un nouveau coup dur aux opposants à ce projet d’aéroport. En septembre, la Commission avait renoncé à ouvrir une procédure d’infraction contre la Francecomme le demandaient les opposants au projet. Le dossier n’est cependant pas clos et la Commission cherche toujours à s’assurer que le projet d’aéroport est compatible avec la législation européenne en matière environnementale. L’aéroport de Notre-Dame-des-Landes devrait théoriquement être mis en service en 2017 pour remplacer l’actuel aéroport de Nantes-Atlantique. Mais les travaux préparatoires ont déjà pris un an de retard.
    "Nous avions demandé que le gouvernement français déclare à Bruxelles les financements publics aux travaux de ce projet, lorsque nous avions déposé un recours contre le décret de concession de cet aéroport", explique Dorian Piette, un des porte-parole d’Europe Écologie à Nantes et membre de la commission juridique de l’Acipa, principale association d’opposants à l’aéroport. "En revanche, la Commission ne s’est pas prononcée sur l’autre partie du financement public du projet, les 115,5 millions d’euros des collectivités locales, alors que, normalement, c’est aussi une obligation", souligne-t-il. "Le combat continue, cette nouvelle décision n’est pas une surprise", ajoute-t-il avant d’annoncer que de nouveaux recours sont en préparation contre les arrêtés dits de "Loi sur l’eau" qui doivent prochainement être publiés pour autoriser les travaux de l’aéroport et de sa desserte routière. "C’est vraiment l’aspect environnemental qui est le talon d’Achille du projet", a-t-il assuré. Outre les décisions européennes, c’est le Conseil d’État français qui, le 18 octobre dernier, avait rejeté un autre recours important contre la déclaration d’utilité publique du projet.
    Ma question : détruire des terres cultivables pour multiplier des aéroports, c’est bon pour le climat, docteur ?!

    21.11 à 09h30 - Répondre - Alerter
PUBLIER UN COMMENTAIRE

Un message, un commentaire ?

  • Se connecter
  • Créer un compte

publicité
1
    Terra eco
    Terra eco
publicité
2
publicité
3
SPIP | squelette | | Plan du site | Suivre la vie du site RSS 2.0
publicité
bas