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Ma ville

Pesticides : comment les villes rendent l’eau potable

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Les cours d’eau français sont presque tous contaminés par les pesticides, révèle un rapport récent. Les nappes phréatiques n’échappent pas au phénomène. Les villes peuvent-elles réagir ? Exemple dans la Vienne.

7 commentaires
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  • moi j’aurais tendance à privilégier l’eau minérale en bouteilles : je ne bois plus d’eau du robinet depuis des années car trop de chimie là dedans. En tant que spécialiste du traitement de l’eau et de la domotique piscine je puis vous dire que j’en connais les produits ... (voir http://www.produits-piscines.fr/domotique-piscine.html ) .
    Mais dans les pack d’eau minérale ce qui fait réfléchir aussi c’est qu’ils sont en plastique ! donc il faudrait transvaser cette eau dans des bouteilles en verre...

    10.11 à 17h42 - Répondre - Alerter
    • En buvant de l’eau minérale, vous absorbez surtout les composants du plastique ! Sans compter que le transport des tonnes de packs de bouteilles nécessite des milliers de camions qui encombrent les routes et polluent l’air ! et les déchets ? je ne crois pas que ce choix soit sage, il engraisse les industriels et les supermarchés mais n’améliore sûrement pas notre santé.

      22.01 à 19h45 - Répondre - Alerter
  • Bonjour,
    J’ai cru comprendre que les pesticides sont la cause de nombreux cancers, est-ce que la lutte réalisée par les villes est suffisante ?
    Je m’inquiète beaucoup pour mes enfants et mes proches.
    J’ai une complémentaire santé d’entreprise qui prendrait en charge les soins si nécessaire, mais je ne sais que trop bien les difficultés de rémissions d’un cancer.

    14.07 à 14h26 - Répondre - Alerter
  • L’utilisation de pesticides et autres -cides, n’est qu’une CONSEQUENCE dans cette histoire.
    Le principal fautif est le labour du sol, travailler le sol à plus de 5cm de profondeur est une aberration agronomique !
    Cf. M. et Mme Bourguignon, LAMS.
    La solution est de ne plus labourer, ce qui redonne à la terre sa fertilité car son humus, ses bactéries, ses champignons et sa faune travaillent comme le sol des forêts.
    ARRETER LE LABOUR !
    C’est aussi garder sa terre, cela évite l’érosion des sol, donc le lessivage de ce que l’on met dessus.
    Ensuite, à 95%, une plante quelle qu’elle soit se nourrie de l’ATMOSPHERE et non du sol.
    Les 5% restant, par le sol donc, sera responsable du "terroir" de ce qui y pousse.

    De plus, ne plus labourer c’est STOCKER du C0² et non en perdre dans l’atmosphère.

    Et arrêter de dire que seuls les agriculteurs sont responsables, ce sont les idées reçues comme quoi il faut obligatoirement labourer pour faire pousser des choses et surtout l’inculture des gens...
    La forêt amazonienne fait pousser sans labour des arbres de 60m de haut et personne s’en étonne....

    29.07 à 22h21 - Répondre - Alerter
  • On marche effectivement de plus en plus sur la tête. Le conseil de Véolia serait donc de boire de l’eau en bouteille pour les populations sensibles et de mettre en place des unités de traitement contre les pesticides. Je suis d’accord avec Mamapasta, pour résoudre cette équation, le plus simple est de ne pas polluer et donc de diminuer les pesticides. Entre le tout pesticide et le tout bio, il existe une alternative d’agriculture raisonnée, en sachant que le bio est l’objectif idéal à atteindre.
    Et je continue à boire l’eau du robinet tous les jours.
    Henriette pour Avenue d’Oc.fr

    29.07 à 12h02 - Répondre - Alerter
    • Plusieurs remarques :
      1 - l’interlocuteur de l’ARS a l’air de rendre responsable les pluies de la pollution des eaux. C’est un argument que l’on entend très souvent mais qui est totalement fallacieux, l’eau ne fait que transporter ce que les hommes ont mis sur les terres.
      2 - les normes pour l’eau potable sont très contestables car peu d’études exhaustives structurent les seuils retenus. A quoi s’ajoutent les dérogations comprises dans les textes mêmes qui, d’ailleurs, ont été revus entre 2001 et 2007 pour favoriser les dérogations pesticides, cela à l’initiative de l’ARS pourtant censée protéger la santé.
      3 - l’effet "cocktail" est oublié alors que nombre de scientifiques s’en inquiètent et personne ne prend en compte, dans la consommation humaine, l’effet d’accumulation. Ces deux points devraient répondre à la remarque d’Henriette sur l’agriculture raisonnée qui n’est, hélas, qu’une façon de faire de l’agro-chimie sans en avoir l’air. Ajoutons que, d’après Myers, éminent spécialiste, certaines molécules de synthèse ont des effets mutagènes inversement proportionnels à leur quantité. Dit autrement le picogramme est plus meurtrier que le milligramme !
      4 - l’eau du robinet est différente d’un endroit à l’autre et il est quasiment impossible à un citoyen lambda de connaître la qualité de ce qu’il boit, d’autant plus que les méthodes de traitement varient d’un site à l’autre et que l’eau "brute" qui sert de base varie en cours d’année. De plus les analyses sont partielles ne retenant que quelques molécules, faites avec des seuils et non avec des valeurs (qu’on hésite pas pourtant à additionner !) et, la plupart du temps, non affichées en mairie, ou 6 mois plus tard.
      5 - enfin, l’ARS, pour rassurer les consommateurs, envoie chaque année un avis sur la qualité de l’eau distribuée, eau que chacun a consommée toute l’année. Au mieux cette eau était aux normes, au pire elle a bénéficié de dérogations ; mais vous l’avez bue quand même !

      29.07 à 14h43 - Répondre - Alerter
  • je vois une solution pérenne.....réduire de façon conséquente l’utilisation de pesticides....la France est le premier utilisateur mondial par hectare...le plan Ecophyto prévoit de diminuer de moitié l’utilisation des pesticides d’ici 2018.....Or ça augmente tous les ans au lieu de diminuer......ça nous coute 54 milliard d’euros par an pour dépolluer les "apports agricoles" à l’eau de distribution...... soit plus de800 euros par français......passons au bio !

    si ces chiffres vous semblent énormes....ils sont pourtant officiels
    http://www.developpement-durable.go...
    _

    29.07 à 10h49 - Répondre - Alerter
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