Étonnant que ce "sous-produit " ne soit pas pas mis à profit : c’est quand même avec le petit lait qu’on fabrique la ricotta, le Brocciu corse, ou même la Rivella, boisson gazeuse emblématique de la Suisse...
Si l’on fait ses propres yaourts, on jette forcément le lactosérum à 100 %.
Qui voudrait boire ça ?
Présenter la production individuelle comme une solution écologique est d’autant plus une hérésie qu’il faut bien fabriquer la yaourtière (Plastique, sable pour le verre, composants électriques…) pour la vendre au particulier…
De New York à Michel et Augustin, la peu durable histoire du yaourt grec