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L’économie expliquée à mon père

Paradis fiscaux : comment éviter d’avoir des billets mal placés

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L’affaire Cahuzac et les révélations liées aux « Offshore leaks » le confirment : les paradis fiscaux n’ont pas disparu. Voici nos conseils pour mettre vos ronds à l’abri.

3 commentaires
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  • Très instructif.
    Merci pour cette mise en lumière de cette triste réalité et surtout des solutions.

    13.04 à 12h35 - Répondre - Alerter
    • J’ai choisi comme banque la Nef via le Crédit Coopératif depuis près de 10 ans et j’en suis ravie
      c’est une société réellement engagée dans des actions solidaires et sociales avec le souci d’être à l’écoute et d ’informer ses sociétaires On se sent acteurs et non pris en otage comme avec les banques classiques
      dans votre article vous mettez un bémol que je trouve injustifié par rapport aux heures d’ouverture Je ne connais tous les horaires des agences classiques qui ne doivent pas être très larges non plus mais maintenant beaucoup d’opérations peuvent se réaliser par internet Le site du Crédit Coopératif est très pratique et sécurisé et je ne suis pas une pro en informatique !
      Si l’on veut vraiment que les choses bougent il faut en prendre les moyens et donc s’engager
      Merci de la variété des sujets traités Cordialement

      26.04 à 20h21 - Répondre - Alerter
  • J’ai quitté voici trois ans la BNP pour le Crédit coopératif. Faites-en autant. Seule l’action à la base peut modifier la donne en faveur d’échanges plus humains.

    Taxe solidarité internationale.

    Face à l’augmentation des profits réalisés chaque année par les entreprises cotées à la Bourse, il serait judicieux de faire redescendre une partie de cette manne financière pour finaliser des programmes de développement écologique et de solidarité.

    La thésaurisation de l’argent par le haut ou par le bas est nocive, elle déstabilise les échanges et augmente la pauvreté. L’argent doit circuler.

    Ce que l’on n’a pu prélever en amont peut l’être en aval par l’établissement d’une Taxe solidarité de 1%(?) sur les hôtels et restaurants et clubs d’hyper luxe .
    Indolore pour les usagers, facile à recouvrer, elle alimenterait en continu les programmes de l’ONU. On pourrait en octroyer un tiers au pays collecteur pour des projets sociaux économiques, les deux tiers restants utilisés pour des projets planétaires environnementaux.

    Remarque. De nombreux pays pauvres vivent essentiellement du tourisme de luxe. Cette taxe serait pour eux doublement bénéfique.
    Une taxe similaire sur la consommation avait déjà été présentée en 1992 à Rio par Anil AGARWAL !

    Demandons à nos gouvernants l’inscription de ce projet au calendrier des discussions de l’ONU.

    17.04 à 18h00 - Répondre - Alerter
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