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Mobilités

Pourquoi Toulouse a renoncé à son Notre-Dame-des-Landes

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En février, le préfet de Midi-Pyrénées annonçait qu’il n’y aurait pas de second aéroport à Toulouse. La fin d’un long débat entamé il y a trente ans. Pourquoi ce projet là est-il abandonné alors que celui de Notre-Dame-des-Landes se poursuit ?

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  • Pas de LGV a Nantes, donc la comparaison s’arrête ace point.
    Je suis pour le train et une LGV parallèle a l’ouest de la France entre Rennes et Bordeaux. C’est idiot de prendre le train plus cher pour aller moins vite qu’en voiture ...

    25.03 à 19h09 - Répondre - Alerter
  • A Olivier :

    Notre-dame-des-landes correspond bien à un nouvel aéroport et non à un transfert puisque Airbus a dores et déjà signifié qu’ils garderaient la piste de l’aéroport actuel. Un nouvel aéoport donc, dans une région où il existe déjà 3 aéroports sous-utilisés (Nantes, Rennes, Angers)...

    25.03 à 18h18 - Répondre - Alerter
  • je partage l’avis de olivier : je m’interroge sur le fond de cet article... pourquoi penser à une "entourloupe" dans cet arrêt de nouvel aéroport ?

    Compte tenu de la configuration du territoire Français et de ses infrastructures de transport, des prévisions de trafic (en baisse), des nécessités de réduire les émissions de Co2, de la concurrence du TGV, l’accroissement du nombre des plateformes aéroportuaires régionales n’est pas nécessaire. Celles existantes sont suffisantes et assez bien réparties sur le territoire. Elle peuvent être bien sûr, rénovées, voire agrandies en cas de réel besoin, mais les aéroport militaires souvent sous exploités, peuvent être ouvert à la CAP pour absorber une augmentation de trafic temporaire.

    Il est par ailleurs, étonnant de constater les levées de boucliers contre les nuisances des aéroports, de constater dans le même temps le développement de l’urbanisation à proximité des mêmes aéroports, de constater les levées de bouclier contre le transfert dans des zones inhabitées, et enfin, de constater les protestations lorsque les dessertes aériennes locales sont supprimées ou insuffisantes...

    enfin, le transfert de l’aéroport de Nantes relève plus d’un égo démesuré des politiciens locaux que d’une réelle nécessite économique, qui n’y trouvera pas son compte financièrement.

    25.03 à 16h21 - Répondre - Alerter
  • Bonjour,

    A Nantes c’est un transfert de l’aéroport et pas un second aéroport. C’est une question d’aménagement du territoire.

    Votre article est un tract.

    Bisous à Walter.

    25.03 à 14h49 - Répondre - Alerter
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