Il sert surtout à nous faire avaler de la bouffe sans aucunes saveurs, voir avarié dans certains pays. Et les industriels qui fabriquent le glutamate monosodique dans tout ça... ? Pendant combien de temps encore, vont-ils avoir la main-mise sur les administrations sanitaire et alimentaire ?
Personnellement, j’ai eu une intoxication alimentaire due au glutamate. Sachant que cela me provoque d’horribles aigreurs d’estomac, je l’évite scrupuleusement. Néanmoins, une fois hospitalisé, au bout de 5 jours de restauration industrielle, vomissements puis diète et sevrage (0 glutamate).
Vu avec la nutritionniste, régime sans gluten : possible, sans lactose : possible, sans sel : possible, mais sans glutamate : impossible. Le groupe de restauration qui fournit l’hôpital ne le prévoit pas, glutamate pour tout le monde. Cet additif est peut-être rare, mais peut devenir inévitable ! Seule solution, me faire apporter des repas sans glutamate.
Résultat : 3 jours de plus à l’hôpital, pour une si faible économie sur les repas !
Certains témoignages confirment des atteintes neurologiques et un lien avec l’hyperactivité des enfants. En Afrique, les fermiers s’en servent pour castrer leurs bovins et les femmes pour avoir un derrière plus rebondi !
Les lobbys multiplient les études positives afin de noyer les études les plus pertinentes. Les témoignages et autres expériences n’ont pas de valeur si une étude scientifique ne les encadrent pas. Ainsi nous pouvons recevoir notre poison quotidien.
Comprendre les étiquettes : qu’est-ce que l’E621, ou glutamate monosodique ?